17 décembre 2007
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Un nom à la George Pérec... ça commence bien.
C'est l'histoire d'une petite boutique qui se monte. Une galerie d'art à Paris. Mais pas n'importe laquelle, puisque celle-ci a des attaches bucoliques. Pour ceux qui suivent, il y a un chef de gare et des pissenlits dans l'histoire. D'ici à ce qu'on trouve une souris verte qui gambade, plus rien ne m'étonne. Pour résumer, il y a dans les mailles du même filet des blogueurs parisiens qui cultivent des orties en Berry, des berrichons qui ouvrent des boutiques à Paris à proximité de mon ancien boulot, du temps où je déjeunais dans un bistrot qui porte le nom du boulot de mon mari. Comment ça, c'est le bordel cet article ? Puisque je vous dis qu'il y a des correspondances partout...

C'est l'histoire d'une petite boutique qui se monte. Une galerie d'art à Paris. Mais pas n'importe laquelle, puisque celle-ci a des attaches bucoliques. Pour ceux qui suivent, il y a un chef de gare et des pissenlits dans l'histoire. D'ici à ce qu'on trouve une souris verte qui gambade, plus rien ne m'étonne. Pour résumer, il y a dans les mailles du même filet des blogueurs parisiens qui cultivent des orties en Berry, des berrichons qui ouvrent des boutiques à Paris à proximité de mon ancien boulot, du temps où je déjeunais dans un bistrot qui porte le nom du boulot de mon mari. Comment ça, c'est le bordel cet article ? Puisque je vous dis qu'il y a des correspondances partout...
