18 octobre 2008
6
18
/10
/octobre
/2008
12:54
A Chevaize, nous ne sommes rien sans elles. Elles sont de toutes les promenades. Elles nous délivrent de nos fardeaux, elles roulent pour nous. Nous les maltraitons un peu, c'est vrai. Parfois,
nous les chargeons de tous les maux, nous les laissons dormir dehors. Mais elles, stoïques, sont toujours prêtes à repartir pour un tour. Parfois, l'une crève, et nous nous réunissons à son chevet.
Mais elles repartent toujours, embarquant le sac poubelle, les branchages ou le voisin qui aurait du mal à repartir à pied à la fin d'une bonne soirée.
Mais, avec celle-ci, point de crevaison funèbre. Je vous présente la brouette André, une qui a déjà roulé sa bosse, mais qui ne sera pas à la retraite chez nous. Elle est bretonne, donc solide et opiniâtre. Un peu coquette, quand elle retire ses bas, la voilà qui se prend pour une lavandière. Je sens que je vais avoir un succès fou à son bras.

Mais, avec celle-ci, point de crevaison funèbre. Je vous présente la brouette André, une qui a déjà roulé sa bosse, mais qui ne sera pas à la retraite chez nous. Elle est bretonne, donc solide et opiniâtre. Un peu coquette, quand elle retire ses bas, la voilà qui se prend pour une lavandière. Je sens que je vais avoir un succès fou à son bras.
