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Dans un Pays Fort



Pour ceux qui n'ont rien suivi, ça a commencé ...

 

Vide-Grenier

14 février 2009 6 14 /02 /février /2009 12:18
L'annonce présidentielle sur la disparition de la taxe professionnelle n'en finit pas d'inquiéter les élus locaux qui ne croient guère en des compensations équivalentes et durables.

Beaucoup de questions se posent. Heureusement, des experts peuvent aider les collectivités à résoudre l'équation délicate de l'équilibre budgétaire :


Journal de Gien, 12/02/09
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commentaires

J
Toutes mes excuses! Il n'était pas dans mes intentions de vous vexer. Mais simplement de dire que ce n'est pas parce qu'une erreur est quasi universelle qu'elle doit aussi s'imposer aux gens qui réfléchissent dont vous faites partie.
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G
<br /> Si citer un cliché c'est le faire sien, alors effectivement je comprends que dans ce pays on n'arrive jamais à s'entendre.<br /> <br /> <br />
J
Désolé de vous choquer! Le bistrot n'est pas que l'assomoir de Zola. C'est l'opposition républicaine et laïque (d'où verre de rouge = canon républicain). C'est là que se réunissaient les marianneux (Le maire de Précy mort déporté en algérie par la répression louis-napoléonnienne était vforgeron-café.)Il se trouve que, dans une autre vie, j'ai exercé la profession de commercial. Lorsque je voulais m'imprégner dfe la vie locale, je sortais de ma chambre d'hôtel pour aller prendre un café. De même, j'ai compris comment Pagnol a écrit Marius en général et la partie de carte en particulier.En rester aux images jaunies du café poussé ou des ornements poussiéreux qui font le bonheur des folkloristes me paraît aller vers les dérives dénoncées par jr à propos du repôrtage sur Lignières. Ne retenir de notre patrimoine qu'une mauvaise image comme le fait le folklore tel qu'on  le connaît ne me paraît pas être porteur d'avenir touristique. Et si le Pmu de Vailly est porteur de modernisme bravo, il représente notre patrimoine tel qu'il est. Gwen, votre réaction à l'égard de ce patriomoine est très répandue. Pour exemple, pour illustrer un livre visant à présenter la filière lait aux enfants dans son actualité technologique, j'ai donné le tapuscrit à une charmante dame qui m'a rendu des dessins avec sabots, fourches et biaudes. Ce style d'erreur qui consiste à utiliser une image surannée pour vendre une actualité toute autre amène à des échecs. Je respecte ce choix. Mais il n'est pas mien.PS: Je fréquente moins la rue Bourbonnoux que le Pmu de Vailly.
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G
<br /> N'auriez-vous pas lu un peu vite, M. Luron ? Je suis horriblement vexée. Dans un premier temps, j'ai voulu réagir à la Stéphane Guillon (en rajouter une bonne couche), mais je renonce parce que<br /> cela suppose des qualités de persévérance. Bref, je ne crois pas avoir dit que les bistrots du cru étaient réellement tels qu'on aime à les décrire, arriérés et poussiéreux, mais qu'au contraire un<br /> touriste (pour éviter de dire parisien) qui "descendrait" au PMU de Vailly pourrait se trouver à la limite déçu de ne pas trouver de tête de cerf au mur. Et c'est valable pour toutes les cultures :<br /> tel bar typiquement russe à Paris recèlera davantage de clichés qu'un troquet ordinaire de Moscou, dans lequel le touriste échoué s'étonnera de trouver des marques occidentales, de la vodka même<br /> pas frelatée et aucun violonneux à l'horizon. Heureusement, il reste l'oralité, et je conçois qu'on y aille pour ouvrir grand ses oreilles, d'ailleurs je l'ai pratiqué également.<br /> <br /> <br />
S
Taxer les propriétaires terriens? Pas le bon plan, avec la chasse que je viens d'acheter en Sologne!
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G
<br /> C'est donc ça, ces trois cerfs affolés, l'autre jour... Mais attention, est-ce bien la vraie Sologne ? C'est qu'on ne rigole pas avec les limites, par ici... ;-)<br /> <br /> <br />
J
C'est ce que je voulais vous faire remarquer. Ce personnage s'insère plus dans des crédulités citadines que rurales. Une petite précision, cependant, vous auriez dû dire que le Berry n'existe plus. Il a existé jusqu'à la création des départements. Quant au propos de l'ami jr, j'y souscris totalement... Sa²uf que ce genre de typicité rurale ne concerne pas que les Lignièrois, ne coincerne pas que les cheriens ou les centriois, il suffit de circuler un peu partout pour s'apercevoir que les conservatoires des coutumes rurales que sont les cafés (quand ils n'ont pas dosparu) en regorgent sur la totalité du pays... Et même dans les quartiers de Paris... N'est-ce pas là que les brêves de comptoir ont fait la notoriété de Gouriot.
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G
<br /> Bref, amis parisiens, si vous souhaitez prendre une bouffée d'air berrichon, dégotez-vous un bistrot bien typique à deux pas de chez vous, l'ambiance du PMU de Vailly est décidément polluée par ce<br /> modernisme ambiant : pensez donc, on n'y arrose même plus le café à la goutte et il n'y a aucune tête de cerf au mur !<br /> <br /> <br />
S
J'ai une autre solution, qui ne fait pas appel à Maître Barro.La Taxe Professionnelle est un impôt injuste, qui pénalise les activités qui nécessitent d'importantes immobilisations, et il est sans rapport avec les bénéfices dégagés.Je propose donc d'aller chercher l'argent où il est, c'est-à-dire dans la popche de ceux qui en gagnent beaucoup. Seul l'impôt sur le revenu est juste. Alors, augmentons-le, et que l'Etat en reverse aux collectivités locales une quote-part suffisante pour subvenir aux charges qui leur ont été transférées.
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G
<br /> Mon dieu, un communiste !<br /> Sans blague, la proposition me semble honnête. Je proposerais volontiers également de taxer davantage le foncier, avec tous ces propriétaires terriens...<br /> <br /> <br />