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Nous, à Chevaize, même quand on n'a rien de spécial à dire, on tient à le faire savoir. J'en veux pour preuve l'article ci-dessous, publié dans le très sérieux
hebdomadaire sancerrois dont la lecture in extenso occupe les jeudis de nos concitoyens. N'était la modestie de l'intéressée, une telle information se devait faire la une.
Au passage, à ceux qui penseraient que je suis la seule à m'inquiéter de l'orthographe du nom du hameau, à informer les médias de la survenue d'une visite ou à célébrer des potlatchs, bref, toutes ces choses qui constituent mon questionnement quotidien et qui alimentent ce blog, je dis : détrompe-toi, Ô lecteur, je ne cultive aucune manie, je ne fais que m'intégrer (et apparemment il y a encore du boulot), car le Chevaizois ne feint pas d'avoir l'âme bucolique et poète, il est le bucolique.

Au passage, à ceux qui penseraient que je suis la seule à m'inquiéter de l'orthographe du nom du hameau, à informer les médias de la survenue d'une visite ou à célébrer des potlatchs, bref, toutes ces choses qui constituent mon questionnement quotidien et qui alimentent ce blog, je dis : détrompe-toi, Ô lecteur, je ne cultive aucune manie, je ne fais que m'intégrer (et apparemment il y a encore du boulot), car le Chevaizois ne feint pas d'avoir l'âme bucolique et poète, il est le bucolique.

La Voix du Sancerrois, 25 mars 2010.