13 janvier 2015
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21 décembre 2008
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Il y a des soirées qui commencent comme ça :
Et qui se terminent comme ça :
Le parallélisme n'est-il pas frappant ? Seul l'uniforme a changé...
Et le pire, c'est qu'il n'y a aucun enseignement à en tirer. On se dit : "si j'avais été là dix minutes plus tôt, j'aurais été prise dans l'accident", "ç'aurait pu être moi", "ce virage est
tellement dangereux", mais on reste impuissant.
Joyeux Noël quand même !
15 avril 2008
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Par ici,
On peut avoir le nez dans la terre et se dire qu'on vit près des réalités.
On peut marcher ou faire du stop pour aller bosser et devenir décroissant par la force des choses.
On peut s'entasser dans une classe unique, de 3 à 11 ans.
On peut accoucher en urgence sans monitoring ni rien.
On peut faire ses achats sur Internet et trouver ça chic de n'avoir pas le choix.
Observer la flambée de l'immobilier et dire "ils sont cons, ici c'est moins cher".
On peut faire du sport, ah ça, oui, on peut...
Et se battre contre des moulins à vent,
Quand ce ne sont pas contre les éoliennes...
"Non à la fermeture de classe" : autant réclamer l'ouverture d'un tribunal d'instance, non ?
16 janvier 2008
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Sur le guéridon
Ouest France, Armen, Simone Veil
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18 décembre 2007
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La vision manichéenne du monde tend à s'imposer, y compris à la tête de l'Etat. Ce à quoi on me rétorque que non, notre président, nos hommes politiques n'ont pas cette conviction. Qu'importe, ils
la propagent. Les honnêtes gens d'un côté, les voyous de l'autre. Si l'on passe aisément du premier groupe au deuxième, l'inverse est impossible.
A moins que... non, c'est idiot comme idée.
Comme si les honnêtes gens étaient capables de mauvaise foi...
Comme si les voyous pouvaient avoir de l'honnêteté intellectuelle...
Ce genre de chose ne se rencontre jamais dans la vraie vie. C'est ce qu'on appelle de la science fiction.
28 octobre 2007
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Pourquoi Grenelle, d'abord ? Quel manque d'imagination. Et pourquoi pas le Yalta de l'environnement ? Non, je propose qu'on déplace la table ronde à Chevaize, sous une tente en lin étanchée à la
graisse d'oie, dans le champ un peu plus haut qui est bien assez grand et où on pourra aussi garer les voitures propres et faire paître les chevaux et ânes qui amèneront les participants. On capte
très bien les réseaux de téléphone portable, et on a même le haut débit. Pour la restauration, on ferait venir des plateaux-repas des fermes et bistrots du coin, et on installerait des toilettes
sèches que les chevaizois assainiront avec les cendres de leurs cheminées. Ca tombe bien, tout le monde a rallumé la sienne.
On appellerait ça les Accords de Chevaize. Il en sortirait des propositions raisonnées où on se souviendrait qu'il existe aussi un monde rural. Bon, pour les propositions d'autres ont réfléchi
davantage et globalement les solutions sont connues. Par contre ce serait bien si les gens assumaient un peu leur choix de vie. Je conduis un véhicule polluant, par nécessité mais aussi il faut le
reconnaître par plaisir ; je veux bien être taxée, mais il ne faut pas oublier que dans la balance il y a des routes de campagne étroites, des hivers rigoureux, pas de chasse-neige, pas de saleuse,
et parfois (parce qu'il n'y a pas d'éclairage public non plus) une birette au détour d'un virage qui vous fait sursauter.
23 octobre 2007
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Un menu que l'on peut déjà déguster à Belleville.
18 octobre 2007
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