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Dans un Pays Fort



Pour ceux qui n'ont rien suivi, ça a commencé ...

 

Vide-Grenier

20 juin 2011 1 20 /06 /juin /2011 20:11

Potatoes from the garden,

Even the meat comes from the patelin,

But not the bread, sorry.

McFranck.JPG

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20 juin 2011 1 20 /06 /juin /2011 19:31

Salade du fin fond du jardin,

Patates itou,

Noix des chemins d'au moins 5 km à la ronde,

Le crottin vient d'une lointaine province de Chevaize,

Il n'y a que le gésier qui plombe le bilan carbone, Canard ayant quitté la mare pour d'autres rives...

potlatch-gesier-chevre-croutons-patates.JPGSalade McFranck ®

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11 octobre 2010 1 11 /10 /octobre /2010 19:16

percu-calebasse.JPG

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7 juin 2010 1 07 /06 /juin /2010 20:10

Potlatch du jour : une livre de fraises mûries au pied du coteau de Chevaize.

Livrées rincées, il va de soi.

fraises 07.06.10-copie-1

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23 mai 2010 7 23 /05 /mai /2010 13:26

En provenant de la biscuiterie de Vailly, des biscuits en vrac à manger bien croquants.

biscuiterie-de-vailly.JPG

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19 janvier 2010 2 19 /01 /janvier /2010 21:29
Toujours à la recherche de fantaisie, en quête d'aventure, je m'approche intriguée de ce bout de papier sur lequel est peut-être inscrit un joli haïku, une réflexion subite, ou encore le premier indice d'une chasse aux birettes, et je lis :

liste-des-courses.JPG

Court-bouillon
Pommes
Fromage
Salade
Clémentines
Pâte brisée

Y'a vraiment des jours sans...

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31 décembre 2009 4 31 /12 /décembre /2009 18:56
Bonne fin d'année 2009 à tous !
Et à l'année prochaine pour de nouvelles aventures...

le-champagne-coule-a-flots.JPG

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19 mai 2009 2 19 /05 /mai /2009 20:51
Avec les beaux jours, la saison des potlachs a repris, comme chez Jeanne. Des petits cadeaux s'échangent, issus des productions locales. Le seul hic, c'est que nous ne savons pas qui remercier pour ces radis déposés devant notre porte.

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11 octobre 2008 6 11 /10 /octobre /2008 12:29

Lorsque Monsieur S, Chevaizois bien connu, reçut d'un voisin deux kilos de raisin noir, il se trouva embarrassé. D'habitude, c'était lui qui faisait profiter son entourage des surplus de sa production potagère et fruitière, haricots verts en tête, après avoir rempli son propre congélateur au grand désarroi de sa femme qui, pendant qu'elle se trouvait consignée à confectionner des sachets en quantité industrielle, s'arrangeait toujours pour se sauver et en écouler en douce auprès ses amies. Ce jour-là, donc, Monsieur S. considéra cet encombrant potlach avec agacement. Il n'aimait guère se trouver redevable, et la récolte du jour lui semblait un peu aigre.

Il alla aussitôt trouver ses jeunes voisins, les D., dont les trois filles étaient connues pour avaler sans difficulté toutes sortes de mets. Mme D. le reçut comme d'habitude entre deux portes, prétextant cette fois-ci que la petite dernière, juchée sur les « grandes toilettes », exigeait sa présence immédiate. Elle accepta le don avec amabilité mais sans enthousiasme, posa le sac en plastique sur la table de la cuisine et s'en retourna vaquer. Lorsque son mari rentra et qu'il vit successivement le sac, puis le regard de sa femme, il comprit. « Tiens, je vais les apporter à ma mère, qu'est-ce que t'en penses ? »

La mère de M. D., qui vivait dans un village non loin de là, espérait toujours les visites de son fils et de ses petites filles, jamais assez fréquentes à son goût. Elle regarda avidement le contenu du sachet et s'exclama qu'elle adorait ça. « Tu sais, ils sont peut-être un peu acides, et les grains sont petits, méfie-toi », lui dit son fils qui connaissait les mésaventures gastronomiques et gastriques de sa mère. Celle-ci, dernière d'une famille de onze enfants, élevée par une mère qui leur disait en ch'ti : « y vous faudrot eun' bonne guerre, mes tiots ! », ne pouvait se résoudre à gaspiller de la nourriture et, bon ou pas, elle mangerait le raisin.

Quelques jours plus tard, elle reçut la visite de Mme S. qui, s'en revenant de la réunion hebdomadaire de son club, avait envie de papoter. Elles picorèrent le raisin, pérorèrent sur les voisins, et se quittèrent ravies.

« Dis donc, ton raisin, il est bien meilleur que celui qu'on nous a apporté l'autre jour, dit Mme S.

- C'est normal, il vient de mon fils. Il soigne sa vieille mère, hein ? »



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17 décembre 2007 1 17 /12 /décembre /2007 18:12
Un nom à la George Pérec... ça commence bien.
C'est l'histoire d'une petite boutique qui se monte. Une galerie d'art à Paris. Mais pas n'importe laquelle, puisque celle-ci a des attaches bucoliques. Pour ceux qui suivent, il y a un chef de gare et des pissenlits dans l'histoire. D'ici à ce qu'on trouve une souris verte qui gambade, plus rien ne m'étonne. Pour résumer, il y a dans les mailles du même filet des blogueurs parisiens qui cultivent des orties en Berry, des berrichons qui ouvrent des boutiques à Paris à proximité de mon ancien boulot, du temps où je déjeunais dans un bistrot qui porte le nom du boulot de mon mari.  Comment ça, c'est le bordel cet article ? Puisque je vous dis qu'il y a des correspondances partout...

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